Kaito Shion
Messages : 66
Humeur : Bonne.
 |  Sujet: Kaito Shion.  Dim 19 Fév - 19:14 | |
|
Shion Kaito du personnage
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
| ▬ Âge ; 18.
▬ Date d'anniversaire ; 20 Novembre 1993.
▬ Orientation Sexuelle ; Homosexuel.
▬ Année(s) Scolaire ; Quatrième Année.
Réalité
▬ Prénom ; Marie.
▬ Âge ; 13.
▬ Comment es-tu arrivé ici ? ; Cela fait bien longtemps que je le connais, ce forum :3 !
▬ Avatar ; KAITO de Vocaloid.
|
Caractère Kaito n'a pas un comportement bien difficile, toujours de bonne humeur, une personnalité douce, il a tendance a voir les choses bien moins graves qu'elles ne le sont réellement, prenant tout au second degré. Un bêta qui ne connait pas la colère. Blagueur et naïf, il n'est pas rare qu'il réponde amicalement aux provocations et injures, bien que celles-ci ne soient pas si fréquentes que cela. Malgré sa carrure, il n'aime pas vraiment les bagarres ni la violence, mais plutôt que d'éviter les conflits, il cherchera à les régler. On peut également le lui reprocher ; il se mêle souvent de ce qui ne le regarde pas, mais ça ne part jamais d'une mauvaise intention ! Dés qu'il aperçoit une âme en peine ou bien quelqu'un en difficulté, il se sentira obligé de jouer son prince charmant et de voler à son secours, bien que souvent, il se fait joliment rembarrer. D'ailleurs, puisque l'on en parle, Kaito collectionne généralement les râteaux, dés qu'il cherche à draguer un jeune homme, le résultat est tout sauf satisfaisant. Son physique étant parfait aux premiers abords, c'est plutôt sa personnalité qu'on lui reproche, et même lorsqu'il débute une quelconque relation, celle-ci ne dure jamais. Bien trop spontané, il est rare qu'il porte attention à une personne en particulier, bien trop du genre à vite se disperser à tout va, et cette distance finit toujours par lasser ses conjoints. Mais pour dire vrai, depuis son amour perdu, Kaito n'a jamais eut de véritables sentiments, il ne se basait que sur des "coups de foudre", uniquement sur le physique, rien que ça. Un blocage par rapport à son défunt conjoint, peut-être ? Il l'ignore et ne s'en soucie guère, cet handicap ne l'empêchera certainement pas de jouer le coureur. Un peu maladroit sur les bords, il n'est jamais en panne d'excuses et de belles paroles, possédant une imagination débordante à toutes épreuves. Un peu rêveur, il a un sens artistique bien à lui. Quant-à son comportement avec les demoiselles, il se montre assez macho, et ne se prive pas de les taquiner, mais jamais rien de bien méchant, généralement il arrive mieux à s'exprimer avec elles qu'avec d'autres mâles. Le roi des potins, il n'a pas sa langue dans sa poche et fera une très bonne "copine" pour les jeunes filles, surtout s'il s'agit de parler de garçons ! Pour finir, parlons de son estime de lui-même. Kaito n'est pas du genre à se vanter, si ce n'est pour plaisanter, il se qualifie comme étant un garçon comme tous les autres, et sa confiance en lui est stable. Ni trop faible, ni trop assurant non plus, il est au juste milieu. |
Physique Bleu, bleu, et toujours bleu ! Kaito ne vit que sur cette couleur. D'abord, ses cheveux, coupés courts sans l'être de trop, puis, filtrant entre ses mèches taquines ; ses deux prunelles bleutées également. Ses yeux sont grands, d'une contraste artistique et son regard ne reflètera jamais la moindre méchanceté. Un beau visage au teint clair, fin et dont l'expression parait toujours gaie, même lorsque ses jolies lèvres rosées n'étire pas de sourires, ses traits sont toujours sereins. Kaito est beau garçon, et nul ne pourra dire le contraire. Il est de grande taille, mesurant aux alentours d'un mètre 80 pour un poids convenable de 70 kilos environ. Bien musclé partout où il faut sans pour autant ressembler à Michelin, il n'est pas bien gros non plus, malgré le nombre de glaces qu'il est capable de s'enfiler. Pas du genre à s'exhiber, il porte souvent son long manteau blanc et bleu, un peu trop large pour lui, accompagné de vêtements simples mais ne quittant pas son ton fétiche, ainsi qu'une longue écharpe, bleue de même, tout comme le vernis à ses ongles. Un physique assez surprenant et excentrique disons, mais cela ne semble pas gêner Kaito qui ne change jamais de style, accordant tout de même une certaine importance à son physique qui se verra toujours soigné.
|
Histoire Kaito Shion. Sa vie avait pourtant débuté de façon si simple. Une enfance paisible ; il naquit en début d'hiver, étant l'enfant unique de parents aimants et protecteurs. Il n'était pas un enfant bien compliqué bien au contraire, c'était un bon petit gars. Nullement difficile à vivre, il était calme, serviable et souriant et aidait bien ses parents dans le besoin, on pouvait toujours compter sur lui et ses services. Bon à l'école, il avait aussi des camarades sur lesquels il pouvait compter et tout ce qui allait avec. Il était loin d'être malheureux notre Kaito ! En plus de cette plaisance, la vie lui avait fait un beau cadeau ; un talent, la plus belle des passions, le chant. Sa voix était mélodieuse à ravir, et s'entraînant d'abord chez lui sans but précis, ses parents finirent par lui payer des cours, au plus grand bonheur du jeune garçon. Âgé d'à peine une douzaine d'année lorsqu'il démarra, il eut bien vite à surprendre ses professeurs et plus le temps passait, plus sa carrière lui était prometteuse. Jusqu'à ses seize ans, il ne cessa jamais de s'entraîner, jusqu'au jour où il fit la rencontre d'un homme à l'apparence bien singulière. Ce dernier l'avait entendu chanté lors d'une petite soirée qu'il avait quelque peu animé, ayant interprété quelques chansons de sa création. Cet homme n'était pas n'importe qui, et il fit à Kaito une proposition des plus alléchante ; il se proposa pour le coacher. Si notre jeune bleuté avait accepté sans une once d'hésitation, ce n'était plus pour son rêve non. Il était tombé sous le charme de cette personne à la voix si douce, au regard à la contraste attirante. Bien qu'ils n'étaient pas les premiers qu'il recevait, ses compliments lui allèrent droit au cœur. Son cœur qui n'avait été prit que par la musique jusqu'à ce jour.
Ainsi débuta leur collaboration. Kaito ne ratait aucun de ses rendez-vous avec l'homme, qui à chaque fois l'écoutait chanter sans las durant parfois de longues heures. Il écoutait chacun de ses conseils, se tuait aux répétitions pour être parfait aux yeux de son supérieur dont les encouragements lui réchauffaient le cœur mieux que quiconque. "C'est bon Kaito, je sais que TU peux le faire. Aie juste confiance." Son timbre de voix s'améliora encore et encore, ses mélodies variaient à la perfection, tout cela selon les envies de son coach dont il était tombé éperdument amoureux. Un beau jour, ce dernier lui fit une nouvelle proposition qui ravit le cœur de notre Kaito. Il l'invitait à venir habiter dans son vaste manoir, tout cela pour, d'après ses dires, perfectionner encore sa musique. Il accepta cette opportunité avec la plus grande joie et peu après, une fois ses valises faites, il emménagea chez son supérieur. Quoi de plus merveilleux que de venir habiter avec la personne aimée ? Malheureusement pour lui, cela ne se passa pas de la façon rêvée. Là bas, une mauvaise surprise l'attendait. Que dis-je ? Quatre mauvaises surprises l'attendaient. D'autres apprentis qu'il avait visiblement pris sous son aile bien avant lui. Que de talentueux jeunes qui parcouraient la même voix que Kaito. Tout d'abord, il songea à passer au dessus de cela, il était avec l'homme qu'il aimait, que rêver de mieux ? Mais sa jalousie le rattrapa au galop. Les mêmes flatteries, les mêmes petites attentions, les mêmes compliments, tout cela était également adressé à ses compagnons. Lui qui pensait être une personne spéciale pour son maître, lui qui croyait qu'il ne regardait que lui. Il n'était en réalité qu'un des chanteurs de cette maison .. Le cœur n'y était plus et ce soir-là, c'est avec des larmes qu'il regagna le lit qui lui avait été attribué. Il tenu le coup, deux jours, trois jours, une semaine, deux ... Chaque jour il enviait mortellement chacun des ses rivaux dont son maître s'occupait. Visiblement, ce dernier avait le même effet sur Kaito que sur les autres, à la différence qu'eux, ne semblaient pas si dérangés que notre garçon par toute cette concurrence. Un petit jeu de manipulation pour les faire arriver droit au but, mais Kaito n'entendait pas cela de cette oreille. Sa rage grandissait dans son cœur, sans qu'il ne voit véritablement ça arriver. Sa jalousie le poussait à bout, il commençait à changer de comportement avec les autres.
Un soir où ceux-ci l'avait particulièrement poussé à bout, c'est le cœur en haine qu'il partit se coucher. Mais il ne put s'endormir. Allongé sur le dos, il regardait fixement le plafond, le visage fermé. Il écoutait chaque bruit de la maison, ne respirant à peine. Chaque pas, chaque mot .. Il attendait son heure. L'heure à quoi ? Il se le demandait lui-même mais dans sa tête naissaient des idées de plus en plus sombres et morbides. A un moment, plus rien ne se faisait entendre, la maison entière était endormie. Entière ? À pas de loup, Kaito se leva puis, passant sa main sous son oreiller, fit glisser un couteau en sa direction. Une vielle arme cependant bien aiguisée que lui avait confié son père il y a longtemps de cela. Ses paroles lui étaient encore bien en tête. "Prend ce couteau Kaito, il m'avait été forgé pour mon anniversaire lorsque j'avais à peu près ton âge. Aller ne fais pas la grimace, tu verras qu'un jour ou l'autre, il te sera fort utile !" Oui, il me sera utile, merci papa. Plaquant l'arme contre sa cuisse, c'est dans le plus grand des silences qu'il sortit de sa chambre, gagnant une à une celles de ses camarades. Tuer. Il les tua tous les quatre. L'une égorgée, l'autre poignardé dans le dos, les deux derniers déchiquetés en plusieurs coups par la lame. Son coach avait bien heureusement un sommeil de plombs et avait prit soin d'isoler sa chambre en cas de répétitions tardives de ses apprentis, rien à craindre des pitoyables cris de ses victimes. Oui, il avait dit SON coach. Il n'était plus qu'à lui à présent .. Les vêtements souillés du sang de ses amis, c'est avec un doux sourire qu'il passa la porte de la chambre de son bien aimé, qui dormait paisiblement. Doucement, Kaito s'approcha, se mettant ensuite à genoux à côté de ce lit à l'odeur si familière. Lâchant son couteau, sa main vient doucement se poser sur le drap, caressant ainsi tendrement le bras de son supérieur tandis qu'il murmurait quelques mots à son égard. "Maitre, maitre .. Il n'y a plus qu'un chanteur dans cette maison. Vous ne regarderez que moi, n'est-ce pas ? Maitre ... Je suis le seul à vos côtés maintenant. Je vous aime." Le cœur léger et gonflé d'amour, Kaito ferma les yeux, laissant reposer sa tête sur le bords du lit et il s'endormit ainsi, bercé par la douce respiration de son coach.
Le lendemain arriva trop vite, malheureusement, et notre garçon fut vivement réveillé par son maitre qui était affolé de ce liquide vermillon recouvrant ses habits. Les questions s'enchaînèrent mais Kaito ne sut qu'y répondre, jusqu'au moment où son maître sembla comprendre et fila à l'étage, bien que son élève faisait de son mieux pour le retenir. Là-haut, il fut violemment secoué par les scènes auxquelles il fut contraint d'assister, découvrant tour à tour le cadavre de ses chanteurs. Il prit peur, Kaito l'effrayait. Amour ou non, ce garçon aux traits si doux avait à présent des allures de monstre pour l'homme. Sous la pression, il préféra aider Kaito à s'en tirer, parvenant à effacer toutes preuves de ces assassinats puis une fois ceci fait, il fit mine de ne plus être touché par la situation. Mais Kaito n'était pas stupide ; il sentait que son bien aimé le fuyait, plus rien n'était pareil entre eux. Mais qu'avait-il fait ..? Baignant à présent dans la culpabilité, il dut un jour retourner chez lui pour passer un peu de temps avec ses parents. Bien qu'il faisait comme si de rien n'était auprès d'eux, il avait un mauvais pressentiment qui lui pesait lourd au cœur, il devait s'assurer de quelque chose. Regagnant à toute allure le manoir de son maitre, il se jeta sur la poignée de porte mais il avait beau la tourner dans tous les sens possibles et imaginables, cela de s'ouvrait pas. Il fit usage de la sonnette, une fois, deux fois, puis à répétition mais rien. Le visage tant espéré de son supérieur ne fit jamais apparition à l'embrassade de la porte. Ses yeux s'orientant vers la fenêtre aux volets clos, il tenta de voir à travers ceux-ci. L'intérieur était sombre, trop sombre, il ne distinguait plus l'ombre d'un mobilier. Inquiet, ce fut au tour de son portable d'être testé et aussitôt qu'il eut composé le numéro de l'homme, une vision d'horreur s'installa. A l'autre bout du fil, la voix glaçante de cette bonne femme. "Le numéro que vous demandez n'est plus attribué, veuillez consulter le service de renseignements ...". Partit. Il était partit. Il avait changé de numéro de téléphone. Il l'avait fui.
Kaito se laissa tomba à genoux au seuil de la porte, la respiration coupée par de nombreux sanglots, il pleura de longues heures. Cette hésitation, cette gêne lorsqu'il l'avait embrassé une dernière fois, tout s'expliquait. "Maitre, pourquoi ..?!" [...] Le temps passa. Après quelques épreuves personnelles plus ou moins difficiles, Kaito sortit du gouffre. C'est avec le cœur en miette qu'il retrouva le sourire. Drôle de contraste. Avec l'aide de son entourage, il redevint le garçon d'avant. Celui qu'il était avant de tomber amoureux. Simple façade ? Nul ne sut jamais ce qui se cachait derrière son air inlassablement réjouit mais ce qui était sûr, c'est qu'il était maintenant toujours présent à son visage. Sauf qu'à présent, il n'avait plus la moindre voie. Les précédentes épreuves l'avaient poussé à laisser tomber son rêve. Une carrière fichue en l'air, il craignait à présent de chanter .. Perdu, il finit par reprendre ses études pour la dernière année qu'il lui restait et c'est ainsi qu'il fut scolarisé à l'internat de Naru Happy School. (Histoire inspirée des paroles de la chanson de Kaito : "[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]".)
Dernière édition par Kaito Shion le Dim 26 Fév - 19:56, édité 1 fois |
|
